Me voilà désormais installé dans cette ville et cet empire depuis plusieurs mois désormais. Les rencontres ont été à ce jour aussi nombreuses que fructueuses. Actrices, modèles, membres hauts placés au sein du groupe. Les conquêtes ne cessent de s'empiler et j'espère bien trouver quelque chose de différent cette fois. La majorité des femmes avec qui j'ai pu développer une relation sont dociles. Le type à aimer la séduction ou le sexe rentre dedans mais de façon simpliste.

C'est pourquoi j'ai décidé de jeter un oeil aux évènements organisés aujourd'hui avant de me rendre à plusieurs d'entre eux. Je suis actuellement sur les lieux du quatrième qui est un tournage sexy où se trouvent plusieurs femmes qui jouent entre elles de façon borderline. Le but de cette future vidéo est de présenter une nouvelle série de films qui seront uniquement lesbiens. Et pourtant... En regardant ces femmes se chauffer mutuellement les unes les autres, l'une d'elle attire mon attention.
Son regard en particulier. Il dégage quelque chose de différent. Mais aussi ses gestes, sa manière de faire. J'ai du mal à mettre le doigt dessus.

Toujours est-il que je pense avoir trouvé là une nouvelle source de distraction. Les idées se bousculent alors dans ma tête alors que je me vois déjà expérimenter tant de choses avec elle.

Afin de ne pas déranger l'équipe en place, je me contente de glisser un billet à une maquilleuse pour avertir la femme qui m'intéresse de me rejoindre dans une des cabines d'essayage du magasin où est enregistrée la vidéo dès qu'elle sera libre. L'envie de me la faire est si forte. Surtout que je n'ai rien fait depuis au moins deux semaines. Ce besoin de me défouler et de calmer mes envies est plus fort que tout.

Le nom de la video X que les 4 filles étaient en train de tourner : « Les langues de velours ». Effectivement, un vrai film lesbien. Les 4 en tenue exagérée de « Lycéenne » à jouer à bouche-que-veux-tu, avant de se faire des langues. L’une d’elle servait d’exutoire. Les 3 autres dont Donna devaient la dénuder avant de la visiter de leur langue. Donna avait été préposée pour s’occuper des seins de l’autre demoiselle avec sa bouche. Une fois la scène achevée, une maquilleuse lui avait glissé un mot : l’un des actionnaires exigeait sa présence. Donna manqua de s’esclaffer en pensant immédiatement : « Il veut que je le suce ». C’était toujours ça avec le mâle en chef sur un lieu de charme. Par le passé elle avait pratiqué des fellations sur les patrons de boite à strip-tease où elle avait dansé. Et de même avec les producteurs de film de charme dans lesquels elle avait joué. Comme un leitmotiv. Le mâle alpha exigeait toujours son dû.

Donna se rendit au lieu dit, curieuse de rencontrer l’une des pointure de Playboy. Elle l’avait fait aussitôt la scène finie et du coups elle avait gardée sa tenue de lycéenne outrancière. Visez un peu l’accoutrement de Donna : Une coiffure enfantine en deux couettes. Ses cheveux étaient si serrés et tirés dans ses liens en chouchous roses, qu’une raie visible partageait ses cheveux au milieu du crâne. Son haut était un chemisier blanc très court, dévoilant son ventre avec son petit nombril. Et exhibant un décolleté plongeant sur sa poitrine, même si celle-ci épargnée par le silicone, n’était pas la plus volumineuse qu’on pu voir chez les actrices de X. Son bas était constitué d’une jupe de lycéenne en tweed, qui ne s’arrêtait que loin au dessus de ses genoux. Très indécents, conçut pour qu’on puisse bien voir sa petite culotte en satin à chaque fois qu’elle se penchait ou faisait un mouvement osé. Elle portait de longues sockettes féminines blanches qui lui recouvraient les mollets et accentuaient le côté émoustillant de sa jupe courte. Avec des chaussures basses noires qui contrastaient avec ses bas blancs et continuaient à mettre en avant ses jambes à reluquer.

Donna entra et aperçut Isaac David assit seul derrière un bureau, situé au bout du long des cabines d’essayage. Le coin avait été aménagé en bureau de gestion-régit pour les vidéos érotiques tournées ici. Ils étaient seuls. Personne d’autres. Donna l’aperçut et lui fit le coup du certain regard. On pouvait lire dans les pensées de la jeune femme : huuum ça c’est un homme. Elle le trouvait très élégant dans son complet Paul Stuart. Elle le reluqua : cravate en soie cousue main ou pas ? Coup d’oeil en douce vers le bas du bureau, pour apercevoir ses pieds… le type portait des pompes Brooks Brothers à 3000 dollars !!! Pensée indécente dans la tête de Donna. Elle s’imagina à 4 pattes à ses pieds, en train de lui lécher ses chaussures… Cette pensée la fit sourire. Regardez donc son petit sourire malicieux et taquin. Un tableau de liège juste à côté du bureau, dessus était épinglé des photos des actrices. De certaines prestations passées en signe de référence. Il y en avait 3 ou 4 de Donna. Sur chacune elle était à genoux ou à 4 pattes, dotée d’un collier de chien en cuir rose, clouté en laiton. Entourée de plusieurs hommes qui la tenaient sévèrement par les cheveux, elle baffrait des sexes érigés avec gourmandise. Nouveau sourire de Donna, nouveau regard. Ok Monsieur l’actionnaire, vous connaissez mon CV maintenant.

Le temps a pour habitude de passer rapidement quand on s'amuse selon le diction. Ce n'est pas forcément nécessaire vu que dans le cas présent les minutes se s'étaient enchainées à une vitesse folle pendant que j'attendais l'arrive de la nouvelle jeune femme sur lequel je prévois de jeter mon dévolu sans aucune retenue. Le portable à la main, je m'étais renseigné sur son palmarès dans l'industrie. Et je ne fus pas réellement surpris en voyant le genre de vidéo qu'elle avait tournée avant de rejoindre notre groupe.

On voit de tout désormais chez Playboy. Le côté charme érotique est toujours mis en avant car cela reste une institution. Tout chambouler serait un véritable suicide professionnel. L'ajout du porno s'est faite progressivement pour ne pas brusquer la vieille garde et faire entrer cette nouvelle identité dans les esprits des plus réfractaires.
Qui dit porno, dit également acteurs et actrices. Sans oublier que le monde du X est extrêmement vaste. Le but étant de toucher autant de monde que possible à travers des productions correspondant à tous les groupes consommant ces types de produits. Les femmes qu'on retrouve dedans ne sont pas aussi soumises qu'elles le laissent croire. Dans 90% des cas selon mon expérience. Excepté cette Donna Cafferty. Oui... Ce regard, cette attitude provocante qui cache tant de choses. Je me fais probablement des illusions. Et pourtant, rien qu'en la regardant, je sens qu'elle est différente. Reste à le vérifier.

Alors qu'elle pénètre dans le bureau de fortune utilisé par l'équipe de tournage, je recule mon siège en cuir pour me lever et me placer devant le grand bureau. Tout est toujours dans l'image ici. Même un bureau temporaire reste de grande qualité et les fournitures qui décorent la pièce également. Le luxe, toujours et encore.
Je ne perds pas de temps en blabla inutile. Je sens que ce n'est clairement pas ce qu'elle désire vu qu'elle a décidé de garder sa tenue d'écolière salope. C'est donc un ordre qui l'attend : « Viens ici ! »

Debout, droit comme un i, j'attrape son poignet une fois qu'elle arrive à portée de mon bras pour la tirer en avant et la faire s'étaler sur le ventre sur le bureau. Envoyant valser les documents qui trainaient dessus jusque là. Aucune perte de temps ou de prise de température. Une main vient bloquer la sienne dans son dos pendant que la seconde remonte ce que les personnes chargées des costumes osent qualifier de jupe pour admirer brièvement son petit cul rond.
Ceci fait, je commence à le caresser sans ménagement. Mes doigts se seraient enfoncés dans sa chair si elle avait un poil de graisse à ce niveau. Puis je le claque une première fois en ricanant légèrement.

« Tu sais pourquoi tu es là, hein ? Sinon tu ne serais jamais venue dans cette tenue. »

Elle dû lever la tête pour l’observer alors qu’il quittait son bureau. Donna faisait au moins 1 tête de moins que lui. Il avait un ascendant sur elle physiquement, ce qui ne fit rien pour effacer le sourire malicieux que la jeune femme exhibait, presque provocatrice. L’ordre claqua comme un coup de fouet. Donna obtempéra aussitôt. La plupart des femmes s’offusquaient lorsqu’un mâle donnait des ordres de façon impérieuse, mais pas elle. Plaisir inavouable : elle aimait quand on lui donnait des ordres… Elle gloussa intérieurement. Monsieur l’actionnaire semblait sévère et ne pas être du genre à ménager ses employées. « Gagné, il veut que je le suce » pensa-t-elle de façon puérile. Un ordre pareil lancé avec autant d’autorité ne pouvait que signifier ça, elle le savait. La plupart des hommes dans ce milieu essayaient de louvoyer pour s’attirer des faveurs sexuelles des actrices de X comme elle. A cajoler de façon sirupeuse pour séduire, convaincre, en espérant que la petite gourde en face d’eux accepterait de se plier au jeu ou à la corvée et les gratifier d’une baise facile en douce. Mais pas lui visiblement. Il ne s’était même pas présenté. Juste l’ordre asséné de façon sec et arrogante. Nouveau gloussement dans l’esprit de la jeune femme : est-ce qu’il faisait ça aussi avec les femmes dans toutes ses activités entrepreneuriales en général ? Chez Playboy ou dans d’autres sociétés ? Est-ce qu’il s’était pris des plaintes pour harcèlement sexuel ?

Les pensées de Cafferty furent interrompue lorsqu’il la saisie par le poignet sans ménagement pour carrément l’étaler sur le bureau. Elle ne s’y était pas du tout attendue à celle-là ! Ce mec n’avait peur de rien. Une froide assurance. Ce qui contribuait à son aura. Visez Donna bouche bée. Avec son expression du visage atterrée, elle avait vraiment l’air stupide pour le coup. Mais déjà une vague de désir immonde et licencieux affolait ses sens. Son plaisir inavouable encore et toujours. Elle resta donc sans protester dans cette posture infamante, un bras bloqué derrière son dos, à la merci de l’actionnaire. A se faire palper les fesses. C’est que l’enfoiré lui tapotait son cul comme il l’aurait fait pour flatter l’encolure d’une bête de concours ! Pas étonnant, elle n’était qu’un vulgaire morceaux de viande pour lui, et elle le savait, sinon il n’aurait pas engagé leur rencontre de cette façon. Elle voulut dire quelque chose pour le taquiner ou le provoquer, mais elle n’en eut même pas le temps. Une claque autoritaire s’abattit sur son postérieur sans délais. La signification était clair : « ton petit cul m’appartient ». Sourire masqué de Donna, à presque enfoncer son visage sur le dessous de main du bureau. Très bien Monsieur Mâle Alpha, jouons à ça. Effectivement, il lui posa la question sur la tenue indécente qu’elle arborait. La petite provocatrice lui répondit avec malice :

« Qui vous dis que je ne porte pas cette tenue, juste parce que j’aime m’habiller ainsi ? Et oui je sais pourquoi vous m’avez faite venir ici. Pour marquer votre territoire et montrer à tous qui est le mâle dominant, en accaparant pour votre plaisir personnel l’une des filles de cette équipe de tournage. »

Très rapidement sa réponse arrive. Et... Je suis le premier surpris à ne pas adhérer à son explication. Alors, oui, mon comportement colle parfaitement avec ce qu'elle vient de me dire. Pourtant je ne ressens pas ce besoin de montrer qui est le chef ou le dominateur à une femme qui fait partie de l'entreprise dont je suis l'un des décideurs. C'est juste que je me laisse aller sans prendre la peine de penser. Mon corps fait tout le travail tandis que mon cerveau est éteint. Les pulsions sauvages que j'ai réprimés pendant plusieurs jours ont pis le relai et vont faire passer un sale moment à cette pauvre jeunette.
Même si elle ne semble pas résister le moins du monde. Une raison de plus pour continuer.

« Ah oui ? Vraiment ? » que je lui lance sur un ton sec. Mon corps se contracte tellement je suis excité. Ma gorge commence à devenir sèche. Tant d'idées se bousculent dans ma tête en ce moment même. Je pourrais lui faire faire tellement de choses. Et la première sera...

Ma main vient claquer une énième fois son petit cul avant de se glisser sous sa culotte pour aller à la conquête de sa petite fente. Il arrive que certaines actrices aient besoin d'un petit quelque chose après un tournage. En particulier lorsqu'il s'agit de films soft. La plupart des filles s'amusent en coulisses, ce qui offre des bonus appétissant pour les fans et la production. Si ça se trouve, elle aussi est encore excitée après son film. De toute façon je compte la faire jouir sans lui demander son avis.
Mes doigts viennent donc logiquement se glisser entre la raie de son cul d'abord. Puis finissent leur course sur ses lèvres intimes et son clitoris. Je me lance alors dans un long massage alors que je relâche son bras pour l'attraper par la gorge et la redresser pour avoir son visage proche du mien.

Mon souffle est saccadé, ma respiration se fait plus forte. Presque de façon animale. Il n'y a aucune douceur, ni de violence trop prononcée. Je ne cherche pas à la blesser. Pour le moment ? Dur à dire. Surtout que mes dents viennent égratigner la beau de son cou délicat au même instant où j'insère mon majeur en elle. Le pouce venant frotter son clitoris pour lui procurer une stimulation plus importante.

« Je vois que t'aimes ça. Ta petite chatte est bien étroite alors que j'y mets juste un doigt. Je mattendais pas à ça. »

Toujours dans cette posture soumise, fesses offertes à l’impérieux actionnaire, Donna grimaça un sourire amusé, le front posé contre le sous-mains du bureau. Elle avait provoquée ce mâle avec sa petite boutade, la réplique allait être cinglante ! Le visage toujours dissimulé, elle se mordilla les lèvres avec son plaisir honteux en tête. Effectivement : nouvelle claque sur son fessier. Plus incisif cette fois. La jeune actrice en lâcha un hoquet de surprise. Elle s’imagina qu’il ne manquerait pas d’abattre sa main autoritaire sur son petit cul pendant tous les ébats qui allaient suivre, jusqu’à ce qu’à la fin de leur partie de jambe en l’air en douce dans ce bureau, ses fesses soient rougis au possible. Un peu comme s’il la marquait au fer rouge pour montrer sa propriété. Des mains tâtonnes vinrent la titiller dans son intimité. Donna Cafferty : presque à feuler, yeux-fermés et bouche mi-close, à profiter du moment. Huuuum des doigts qui s’attardèrent dans sa fange. A effleurer ses orifices. D’abord sa rondelle, puis sa chatte. Il se mit à la besogner de sa main, tout en la forçant à relever le buste. Empoignade de la gorge, visage tout contre le sien. Donna fut prise d’une frisson glacé, puis d’une vague de chaleur. Ça devenait intéressant. Si près, à entendre son souffle. Elle aussi eut la respiration qui s’emballait. Bouche ouverte maintenant, à haleter comme une vraie chienne sous la caresse forcée de son intimité.

La scène était éloquente : elle en appuie sur le bureau, en position lascive. Lui en train de l’explorer d’une main tout en la tenant sévèrement d’une autre. Comme s’il usait d’elle comme d’un vulgaire objet. L’emprise de sa main sur son cou était excitante. En la saisissant ainsi, Mr l’actionnaire était en mesure de percevoir le pouls de la jeune femme plus encore que s’il lui prenait le poignet. Le pouls de Donna eut quelques ratés entre deux doigtages auxquels il s’adonnait : 180 pulsions au bas mots ! Inutile de décrire le niveau d’excitation de l’actrice. S’il s’était mis en tête qu’elle simulait ce moment d’abandon entre ses mains impitoyables, il était maintenant fixé. Une vraie femelle en chaleur entre ses mains. Elle perçut elle aussi la respiration du mâle qui s’accélérait. Il ne tarda pas à lui mordiller le cou. Elle ne put dissimuler son sourire. Elle aimait la sensation. A se faire dévorer par cette bouche quêteuse qui voulait le goût de sa peau, son goût à ELLE. Appelons ça Donna, le vulgaire petit morceaux de viande de Monsieur le patron. Elle lança entre deux soupirs de plaisir :

« Vilain curieux. Si vous voulez avoir votre petite chienne perso, il faudra la discipliner avec vigueur, si vous ne voulez pas qu’elle vous morde elle aussi... »

Jusque là ce sont les gestes qui ont pris le dessus sur les échanges entre nous deux. Le fait de vouloir entrer dans le vif du sujet et la posséder aussi rapidement que possible y était forcément pour quelque chose. Alors quand elle ose sous-entendre que les choses ne sont pas assez intenses pour elle mon sang ne fait qu'un tour dans mes veines et je lui lance : « Qui t'a donné le droit de me répondre ? »

Le ton est sec, froid, mais pas que. Mon pouce qui s'amusait à titiller son clitoris chance de cible pour son oeillet et s'y enfonce dedans d'un coup sec en plus de mon majeur qui rejoint l'index dans sa chatte. Le tout avec assez de force pour soulever son petit corps frêle et léger au passage. La jeune actrice en tenue d'écolière ne pèse pas bien lourd il faut dire. Je n'ai aucun mal à faire en sorte de l'étendre encore plus sur le bureau. Si elle veut se faire malmener, elle va être servie car le léger doute qui subsistait dans mon esprit jusque là vient de s'évaporer.

Tous les muscles de mon bras droit se contractent pendant que j'enfonce mes doigts avec vigueur et expertise en elle. Ceux-ci se plient même pour former une sorte de crochet improvisé pour la stimuler au maximum jusqu'à lui provoquer un orgasme forcé si il le faut. Mon autre main, elle, appuie sur sa tête afin de la coller contre le bureau. Elle ne peut actuellement rien pour se dégager de cette position. Je me sens tout puissant comparé à elle qui n'est là que pour faire ce dont j'ai envie. On peut entendre l'arrogance dans ma voix quand je lui lâche : « Tu sens ces doigts qui te ravagent par les deux côtés ? C'est qu'un début, car tu vas prendre bien pire. »

Et je continue de la besogner sans vergogne encore et encore. De longue minutes, jusqu'à ce qu'elle convulse de plaisir sans lui laisser d'autre choix. On aurait pu croire que je m'arrêterai là. Et non, je poursuis encore la chose jusqu'à ce qu'un second orgasme consécutif se produise. On peut faire jouir une femme avec ses doigts et sa bouche quand on sait s'y prendre. Et le fait d'en cotoyer autant ici m'a bien servi. Seul détail, Donna n'aura droit à aucun traitement de faveur ou de douceur. Elle qui semble apprécier le côté brutal devrait y trouver son compte.

Une fois mon objectif rempli, je lui attrape la nuque et l'emmène à se mettre au genoux par terre. Je déboucle ma ceinture et la retire en déboutonnant mon pantalon au passage pour finir en boxer. Que je n'enlève pas. A la place j'enroule mes mains à chaque extrémité de la ceinture que je fais ensuite passer derrière sa tête pour ensuite tirer jusqu'à la coller contre mon début de bosse. Qu'elle se familiarise avec cette odeur car elle va devenir un parfum qu'elle reniflera régulièrement.

Les provocations de la petite garce commençaient à faire effet. L’intransigeant actionnaire la rembarra direct, lui intimant qu’elle ne devait pas lui répondre sans autorisation préalable. Pas étonnant, il ne l’avait pas faite venir pour entendre sa jolie voix (si ce n’est pour couiner quelques orgasmes), mais pour palper son petit corps et user d’elle. Le seul intérêt de sa présence ici n’était pas sa conversation mais bien son petit cul. Nouveau sourire taquin sur le visage de Donna. Le sentiment d’être désirée et objet de désir la flattait. Son sourire s’effaça lorsqu’il introduisit un doigt dans ses fesses. Un air hébété, presque niais. A trop provoquer, on se prenait des déconvenues. Les gestes assurés et fort de son avide amant, la firent basculer sur le bureau une fois encore. Impuissante une fois de plus. A se faire visiter de façon très intrusive par les doigts du misogyne. Elle se sentait épinglée sur le bureau, comme un jolie papillon. Un spécimen ajouté sans ménagement à la collection de Monsieur l’actionnaire. Sans lui laisser à elle le moindre choix. Vague de plaisir honteux à nouveau. Le masochisme en elle appréciait la situation : elle s’était faite prendre et cueillir par caprice sexuel, par ce mâle qui se servait comme il l’entendait dans ce large vivier de playmates, façon féodal.

Les doigts faisaient leur office. Le souffle de Donna fut prit de folie. Son pouls battait à ses tempes. La sensation de son cœur qui cognait en rythme. Un soubresaut lui fit s’enfoncer ses hanches contre le bureau. Son propre mouvement lui fit mal. Ses couinements incessants continuaient à affoler les battements de cœur de Donna. Presque à se débattre pour échapper à son emprise des mains, en vain. La garce se mit à jeter des petits cris, dont on ne savait dire s’ils étaient plaintif ou de jouissance. Elle eut un spasme dans tout le corps, elle mordit le rebord du sous-mains du bureau. Nouvelles convulsions, encore, encore et encore. Son dos se tendit en arc. La main de son tourmenteur la plaqua à nouveau. Un râle de jouissance chez Donna. Il venait de lui donner la sensation avec son putain de geste, qu’il la traitait comme un vulgaire bout de viande sur un billot. L’arrogance des paroles de son maître amant confirmèrent son ressentit. Dans sa position d’inconfort elle gloussa, laissant échapper en passant un filet de bave aux commissures de ses lèvres.

Elle s’attendait à ce qu’il la pénètre ensuite de son sexe, vu qu’elle était dans une position idéale à ce propos. Mais nouvelle déconvenue, il l’a prit par le cou pour l’amener au sol. Elle s’emmêla les pieds dans le mouvement, donnant une image maladroite d’elle même. La position l’excita encore plus. Que ce soit à genoux ou à 4 pattes, tout semblait plus facile une fois vu du sol. Elle se prit même un peu trop au jeu. Vu d’en bas à genoux, ce mâle semblait avoir une envergure plus grande et être encore plus intimidant. Une figure d’autorité à qui on a envie de complaire pendant qu’il vous dresse. Il baissa son pantalon, retira sa ceinture et se servit d’elle comme un lien pour l’attirer toute contre lui. Donna avec un air béat, qui se doutait que la ceinture allait servir de laisse avant la fin pour elle. Elle rit intérieurement. Monsieur le dresseur voulait une chienne, façon animale de compagnie. Pour l’instant il pressait sa face de force contre son membre dissimulé par son boxeur. Odeur âcre. Donna joua le coup de la fille bien dressée. Pour montrer sa complaisance, à genoux elle redressa le buste et poussa ses seins contre ses jambes. De sa bouche elle caressa le membre à travers le tissus. Elle le sentait plus que dur. Elle fouina du museau dans son entre-deux. De ses mains elle saisit le boxeur et le baissa, délivrant le sexe du mâle. Elle s’empressa de l’engloutir. Elle resta comme ça à le garder en bouche. Comme une vilaine petite possessive qui ne voulait plus le relâcher. Toujours la bouche pleine, elle leva ses yeux vers Monsieur et papillonna des prunelles en le fixant avec cette petite lueur démoniaque dans le regard.

Quelle surprise en la voyant se jeter sur ma queue comme une affamée qui n'a pas vu un morceau de viande depuis une éternité. Surtout que je ne lui ai rien demandé. En général j'aime me faire sucer par une belle femme. Le fait d'avoir une créature de rêve qui se dévoue pour prendre soin de moi dans les moindre détails à quelque chose d'enivrant. La contempler en pleine oeuvre alors que son seul objectif est de me procurer du plaisir. Sauf que la situation actuelle est différente. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle agisse de cette façon et je ne pensais pas non plus à lui demander de me sucer. Non, je cherchais juste à l'humilier un chouia pour ensuite passer à quelque chose de plus direct.

Il n'est pas trop tard après tout. Ma main gauche lui offre un peu d'espace quand elle vient se déposer sur sa petite tête. Sans la prévenir de ce que je compte faire, j'appuie dessus pour lui faire avaler autant qu'elle le peut de ce massif et veineux chibre sur lequel elle venait de commencer à baver. J'attrape au passage ses cheveux pour la faire reculer en lui lâchant encore de façon froide et agressive : « Parce que tu crois mériter ma bite, salope ? Non, t'es juste bonne à me pomper les couilles pour l'instant. »
En appuyant sur le haut de son crâne, je fais descendre sa tête au niveau de mes boules pleines à craquer qui n'attendent qu'à se soulager le moment venu. La bave de la blonde qui enduit mon gland coule sur ses cheveux alors que je la regarde faire en la bloquant plusieurs secondes. Qu'elle les lèche, les suce, les savoure.

« Viens par là, petite pute. A quatre pattes, que je te baise comme la chienne que t'es ! ». L'ordre est encore une fois sec. Ma main lâche ses cheveux après l'avoir poussé pour qu'elle se retrouve au sol. Mon sang bouillonne toujours autant dans mes veines. Mes habits sont sens dessus-dessous et bloquent grandement mes mouvements. Mais pas au point de m'empêcher de lui arracher sa culotte avec les mains après avoir relâché la ceinture sur le bureau. Sa mini jupe relevée, j'attrape ma bite dans ma main droite pour la glisser vers sa fente humide et m'y enfonce d'un coup sec. L'autre main posée sur son épaule dont je me sers pour garder l'équilibre. Au point d'enfoncer mes doigts dans sa peau comme d'une prise d'un mur d'escalade qui me séparerait d'un gouffre. Sa douleur ne m'importe pas une seconde.

Une fois bien en elle, je recule lentement pour repartir une nouvelle fois jusqu'à la moitié. Il faut dire que son petit corps va devoir s'habituer à moi avant que je ne puisse entrer tout entier. La casser tout de suite serait contre productif.

La main se posa sur sa tête et Donna cru qu’elle allait lui caresser l’espace entre ses les deux couettes juvéniles de sa chevelure de petite allumeuse, mais non. La main lui imposa d’avaler à outrance le membre. Elle suffoqua. Les mains lui saisirent ses deux couettes pour la faire reculer de force. Ce geste la fit régresser encore plus dans son plaisir coupable. A se faire tenir sévèrement par la crinière. Il y avait quelque chose de disciplinaire dans cette gestuelle. Un commentaire méprisant s’abattit. Elle n’était pas encore digne de se régaler en baffrant la queue. Tout au plus avait-elle le droit de laper ses couilles pour rendre hommage à sa virilité. Une main appuya et la força à ce propos. Elle lappa ses couilles comme une chienne, comme pour confirmer l’ascendant qu’il avait sur elle. Elle les suçota et joua avec, non sans dissimuler une certaine fierté à être celle qui avait le droit de les déguster. Elle les dévora ensuite à pleine bouche avec vivacité, en levant un regard vers lui. Elle le fixa avec cette petite moue boudeuse de celle qui avait été éconduite. Il l’avait privé de cette queue tant convoitée et elle lui faisait savoir son humeur à ce propos!

Une fois qu’elle eut fait son office, il lui intima de se foutre à 4 pattes, qu’il puisse la besogner plus avant. Les invectives s’abattirent : « Pute », « Chienne ». Elle ne s’en offusqua même pas. C’était bien ce qu’elle était depuis qu’elle avait pénétrée dans ce bureau. Il l’accompagna en lui tenant toujours les cheveux alors qu’elle se mettait à 4 pattes. Un peu comme s’il se donnait du mal pour une fille incompétente. Elle lança une nouvelle provocation, à la fois pour l’émoustiller et pour avaliser ses paroles méprisantes. Donna fit une parodie de :

« Ouaf ! Ouaf ! »

L’aboiement était faiblard et minable. Elle risquait de se prendre une nouvelle déconvenue si elle jouait à ce jeux là avec lui. Il serait capable de lui apprendre à aboyer de façon plus convaincantes. D’une ruade il lui arracha sa petite culotte. Elle trembla lorsqu’il la pénétra. Un petit cri, presque reconnaissante de la saillie qu’il lui accordait comme un privilège. Ils bougèrent. Lui avec ses coups de reins, elle avec ses mouvements du bassin. Ils s’emboîtèrent. Il lui imposa la cadence. Elle se cabra et eut un spasme. Comme prise dans un étau. Elle se cabra comme un animal. Elle se laissa partir. Elle fit un :

« HAN ! »

Très sonore. Ses grognements accompagnèrent l’intensité avec laquelle il entreprit de la démonter. Elle resta les yeux fermés très fort, comme pour endurer.

Plus les minutes et moins je perçois de résistance provenant d'elle. C'est presque même si elle ne cherche pas à me pousser à aller encore plus loin quand elle remue les hanches pour s'empaler sur ma bite quand je bouge les miennes sur le même rythme dans le sens inverse. Surtout que mon pantalon me dérange dans mes mouvements. Au point de me forcer à faire une brève pause pour l'enlever aussi vite que possible pour mieux y retourner.
Idem pour mes chaussures qui seront les première à s'envoler à quelques centimètres de nos deux corps encore emboités l'un dans l'autre. A peine par quelques centimètres de plus que mon gland. Sa cyprine rend ma tige veineuse luisante et lubrifiée à la perfection quand je repars d'aussi belle.

Ma main retourne sur sa tête tandis que j'ouvre les jambes d'avantage pour me retrouver dans une position avec un genou à terre et l'autre plié. Ce qui me permettra de la pilonner aussi brutalement et sauvagement que possible. J'appuie fort sur sa tête pendant les premières secondes en grommelant : « Ca prendra le temps qu'il faudra mais tu finiras par t'habituer à ma grosse queue. Au point de ne plus pouvoir t'en passer une journée. »

Je trouve enfin mon équilibre en la maintenant face contre terre alors que ma seconde main revient claquer son petit cul sans défense en rajoutant : « Tu seras ma pute à partir d'aujourd'hui. Compris ? »
Avant de lui remettre une autre claque sur la fesse droite. Et pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Les claques se poursuivent sur son derrière qui commence à voir s'y imprimer la trace de ma main. Au point de me laisser aller à un : « C'est qu'elle m'écrase la bite cette salopE. » quand je sens son vagin me comprimer de toutes ses forces sous mes coups de reins répétés.

Chose qui, en temps normal, suffit à me soutirer un orgasme également. Le fait de ne pas jouir sur le moment est un mystère. Un dernier coup de butoir bien sec pour enfoncer ma queue aux trois quart en elle, je me retire pour m'appuyer le dos contre le bureau. Le souffle saccadé, j'ai besoin de reprendre mes forces car avec ou sans éjaculation, je n'ai pas lésiné sur les efforts jusque là.
Mais pas question qu'elle se repose. Oh non. Je la regarde affalée au sol et lui ordonne : « Ne reste pas plantée là. Ma bite ne va pas se sucer toute seule. »

Il prit appuie sur sa tête avec un rare mépris pour la butiner. L’étreinte torride reprit sans temps mort. Donna écrasée par le geste ne répliqua pas. Trop contrainte par les coups de queue pour avoir une quelconque réaction lucide. Il ne s’agissait définitivement plus d’un ébat entre amants, mais bien d’une saillie brutale entre un mâle et sa femelle. Les paroles de l’actionnaire avaient quelque chose d’inquiétant. Il annonçait que leurs violents ébats seraient régulier et qu’elle ne tarderait pas à devenir dépendante de sa personne. Nouvelle fessée, comme pour prendre acte qu’elle ne s’appartenait plus, mais était sa propriété privée à lui. La plupart des femmes auraient été effrayés par cet état des lieux, mais pas Donna, qui aimait à se complaire dans ce genre de jeux malsains. Il la désigna comme étant désormais sa « pute ». Il voulait qu’elle accepte cet état de fait aussitôt. Ne supportant aucun refus ou contestation. De même qu’il se l’était approprié sans lui demander son avis, il ne voulait même pas son opinion à ce propos. Juste de la docilité. Sa pute ? Parlait-il au premier degré ? Comptait-il la prostituer dans Miami pour son profit ? Donna ne songea pas trop à tout ça, elle était juste accaparée mentalement par les délices de cette baise bien brutale. Juste prise au jeux de façon niaise, à planer sur le désir et les fantasmes inavouables. Elle lança de manière irréfléchie des paroles inconséquentes juste pour lui plaire :

« Oui maître, je suis votre petite putain perso. »

Nouvelle fessée. Encore et encore. Le revers d’une main brutale qui s’abattait sans temps morts, refusant de lui laisser le moindre répit. A marquer de coups ses fesses, comme s’il marquait son territoire. Comme s’il cherchait à marquer au fer rouge son nom sur les fesses de Donna. Ou même à le tatouer dessus pour bien la chosifier comme son bien personnel. Une fois qu’il eut achevé sa chevauchée, l’actionnaire se retira d’elle et la laissa à terre, étalée. A la fois contente et stupide après cette baise des plus primale. Elle reprit son souffle et essaya de se redresser sur ses genoux, son corps endoloris à divers endroit à cause des pressions et des gestes de l’actionnaire autoritaire, qui n’avait eut aucun égard pour elle. Il ne comptait pas en rester là avec elle, ça aurait été trop facile. Il lui ordonna de le sucer aussitôt. Au travail, elle se traîna à 4 pattes, encore douloureuse. Levant un regard à la fois malicieux et béat vers lui en approchant. Il n’avait voulut qu’un vulgaire cul à fesser et à besogner au début de leur entrevue. Maintenant il exigeait juste une bouche vorace pour faire son office.

Elle fouina du visage dans sa queue en vraie chienne pour commencer. Puis elle lapa en lent mouvement de langue sur toute sa virilité, en vas et viens continuels. A remonter cette colonne de chair fièrement dressée. Entre deux lapement elle pompa vigoureusement à pleine bouche. De la bave coula aux commissures de ses lèvres et son menton ne tarda pas à être inondé. Quand elle relâchait la queue de ses lèvres, elle faisait ce bruit de succion indécent qu’elle aimait à employer dans les films X où elle avait tournée. Donna savait que ça ne manquerait pas d’exciter son mâle et de faire grossir son membre encore plus. Visez maintenant Donna l’impertinente, toute provocatrice, qui taquinait le gland du sexe de son Maître avec ses dents, un large sourire de garce aux lèvres, tout en lui jetant un regard de vilaine joueuse, à le défier, au diable les gifles qui s’abattraient sur elle. Son petit éclat de rébellion complètement niais et vain l’excita. Ses tétons pointaient sur sa poitrine, fou de désirs et douloureux.

D'ordinaire je prends peu de plaisir avec les fellations forcées et aux mouvements rapide. On en profite que peu vu que les stimulations sont trop courtes et avoir la bite qui remue dans tous les sens n'est pas très excitant. Et pourtant la façon de faire de Donna est loin d'être désagréable car elle sait varier les rythmes et baver au point d'en mettre partout. La salive est un lubrifiant banal mais qui a pour effet de m'exciter terriblement quand c'est en lien avec une pipe. Voir ses petites lèvres danser sur mes veines dans lesquelles se reflètent les lumières de la pièce y ajoutent aussi un certain piment. Je la laisse faire à sa guise pour le moment en profitant et reprenant mon souffle. Les mains toujours appuyées sur le bureau qui me sert de support. En plus de l'aspect visuel et ses sensations, les sons qu'elle produit sont à la frontière de la perfection. Que ce soit les *POP* ou les bruits d'aspiration. Le genre de détail dont je ne me lasse jamais.

Mais elle semble s'ennuyer dans son coin vu qu'elle me relance en laissant trainer ses dents sur mon gland gonflé et violacé avec un regard et un sourire arrogant. Un râle rauque m'échappe et un léger spasme fait trembler ma queue qui me démange de plus en plus.
Remonté à bloc pour une nouvelle manche, je lui lâche cette fois : « On veut jouer, hein ? Tu veux tester mes limites ? Attends un peu... Si t'as faim, je vais te faire bouffer mon gros bout. »
Et là, mes mains lâchent le bureau pour que la gauche prenne appui sur sa tête pendant que la droite serre fort ma bite à la base afin de la garder parfaitement droite. Sans aucun avertissement je lui fais gober un tier de ma bite et pousse le vice jusqu'à bloquer sa tête comme ça pendant une dizaine de secondes. J'ai poussé tellement fort que j'ai pu sentir mon gland toucher sa glotte. Puis je relâche à peine une seconde et recommence. Et encore une troisième fois. Je ne lui laisse même pas le temps de reprendre son souffle entre chaque gobage.

Arrivé à la cinquième fois je m'arrête et me penche en avant vers son visage que je fais relever vers le plafond en tirant sans ménagement sur sa chevelure qui commence à se défaire. Ma main droite qui tenait fermement ma bite jusque là vient s'abattre sur sa joue gauche une première fois dans un bruit lourd et caractéristique. Et une deuxième gifle, plus légère, suit la première. Je fais semblant d'être remonté, alors que ça m'amuse plus qu'autre chose en lui lâchant : « Tu vas apprendre à rester à ta place. A vénérer ma bite. La considérer comme ce que tu as de plus précieux, compris ? »
Et là, je rattrape ma queue avec ma main droite pour la frotter sur son visage. Etalant au passage sa propre salive sur sa peau douce et chaude d'excitation. Cela dure plusieurs secondes. Jusqu'à ce que je décide de la laisser poser sur son visage afin qu'elle puisse vérifier que mon membre est plus grand que sa tête. Je profite de ce bref instant de répit pour attraper mon portable qui était quelque part sous un dossier et lance l'enregistrement vidéo.

L'appareil dans la main droite, la gauche qui est encore et toujours coincée dans sa chevelure se remet à appuyer son visage sur ma queue tendue comme un piquet et gonflée à bloc. Mais l'excitation est telle que je contrôle assez mal mes gestes et la fait descendre un peu plus bas car je mets trop de force dans mon mouvement. Qu'elle se remette à jouer avec mes couilles et ma bite en premier importe peu vu qu'elle va devoir faire les deux.

Sa provocation des plus puérile à l’aide de ses dents, son regard et son sourire avait marché ! Le mâle lui fit bien comprendre qu’elle allait à nouveau se faire malmener car elle ne s’appartenait plus. De même qu’il l’avait réduite à un cul à visiter, il allait maintenant la réduire à une bouche qui ferait le même office. Des gorges profondes s’ensuivirent. Brutales, impitoyables, au rythme soutenue. Un sentiment d’étouffement et de noyade s’empara de Donna. A engloutir de force jusqu’à la garde. A suffoquer et tousser. Les yeux rouges, la respiration coupée, à déglutir péniblement et difficilement sous les assauts de queue cruels dans sa face. Il lui tira à nouveau la crinière de façon méchante, jusqu’à la décoiffer. Finis l’allure de petite lycéenne qui avait le feu quelque part. Maintenant elle ressemblait juste à une traînée de bas étage. Des énièmes gifles s’abattirent sur les joues de Donna. Ça en faisait trop. Elle avait appréciée les premières dans leurs ébats, mais désormais la douleur commençait à être trop envahissante. Quelques larmes naissantes perlèrent sur son visage défait. La nouvelle directive tomba : elle devait désormais vouer un culte à ce sexe en particulier. Elle acquiesça rapidement du visage, presque effrayée. Prenant stupidement au mot l’actionnaire. Elle essaya de se convaincre que ce sexe érigé allait lui devenir nourriture et passion. Son maître appliqua aussitôt ses paroles. A lui frotter son membre sur sa face déjà malmenée. Elle n’eut d’autres choix que de se prêter au jeu pour le complaire, encore. A se frotter amoureusement sur le membre grossit par le désir.

Il sortit son portable, comme décidé à profiter jusqu’au bout de l’exploitation qu’il entreprenait d’elle. Donna s’appliqua sous l’oeil sordide du portable. La main impérieuse la contraignit à baffrer couilles et sexe. Très bien, prenons le au mot, vouons un culte à ce sexe gonflé. Elle baffra. Pas comme une actrice de X, non, mais bien comme la dernière des putes. Elle accompagna le bruit à ses lapements bestiaux en grognant de façon inepte, mais terriblement excitante. Ses deux mains rivées sur les cuisses de son dominateur, en recherche d’appui, elle se recroquevilla, visage levé vers lui, à accueillir sur son visage ces couilles et cette queue, objets de touts les cultes et tous ses désirs désormais. Elle glissa sa langue et son menton encore plus bas, à lui lécher le scrotum. Oh et puis zut, elle abandonna toute dignité. Elle passa sous lui carrément pour fouiner dans sa fange, à pivoter sa tête pour venir lui lécher la raie. Jusqu’à ce qu’elle ait bavé abondamment, jusqu’à ce qu’elle ait atteint sa rondelle qu’elle tritura du bout de la langue, finissant par embrasser avec passion l’anus de son maître, avant de glisser sa langue dedans sans aucune pudeur ni fierté personnelle.

Eh ben, si je m'attendais à ce qu'elle aille aussi loin dans la soumission. A ce jour il m'est arrivé de tomber sur des passages où les actrices l'échaient l'anus de leur partenaire par envie ou suggestion de ce dernier. Cela ne restait donc que de la curiosité jusqu'à l'expérimenté par moi-même. Et le fait est que cela ne me plaît pas vraiment. Je me redresse alors pour l'empêcher de poursuivre en tirant sur sa tignasse au passage. Il va de soi que je ne vais pas lui expliquer la chose de cette façon. Pourquoi perdre mon temps avec celle qui est juste bonne à servir de trou pour ma queue.

On pourra donc entendre plus tard sur la vidéo : « T'es trop conne pour suivre un ordre aussi simple ? Reviens par ici ! »
Ma voix se fait plus forte que les précédentes. Sans doute à cause de la gêne occasionnée par son geste précédent. Le geste suivant est également plus brutal que les autres quand je la pousse en relâchant ma prise sur ses cheveux afin qu'elle se retrouve à même le sol. Je me jette alors sur elle pour la faire se mettre sur le dos et me positionne avec les boules au niveau de ses lèvres et la bite pile au-dessus de son visage. Après les caresses de mon chibre brûlant et dur comme la pierre sur son visage, voilà que je la bifle encore et encore, sans ménagement. Lui ordonnant alors de me pomper les couilles pendant une bonne minute. Je change ensuite de position pour lui faire gober ce qu'elle peut de ma bite. Le bout de viande dont elle doit s'occupe est visiblement trop volumineux pour sa petite gorge.

Les plans filmés avec le portable sont désordonnés, mal cadrés. Quel gâchis ce serait de ne pas profiter de cette occasion pour filmer quelque chose d'amusant. Je décide alors de prendre une nouvelle fois appui sur sa tête pour coincer une partie de ma queue dedans alors que je me redresse pour m'asseoir à mon tour par terre sans qu'elle ne puisse respirer correctement et s'éloigner de moi.

« Dernière chance, suce moi jusqu'à me faire cracher sur ta gueule d'ange. T'en meurs d'envie, avoue-le. Dis-moi à quel point tu veux ma queue. »

L’ordre claqua sec et exigeant. Il la traita de conne et pour le coup elle se sentait comme telle. Il n’avait pas aimé son initiative. Il la prit vivement, peut-être plus encore que les fois précédentes, pour l’étaler au sol. Il prit place sur elle, à la coincer en étau. A caser ses couilles sur un coin de sa gueule pour lui montrer qui était le patron. La chosification de Donna, réduite à l’état de simple vide-couille s’achevait. Coups de queue sur son visage. Toute une série. A la faire grimacer et fermer les yeux, avec un rictus de gêne sur sa tronche. C’est que ce membre durci pouvait faire mal utilisé de cette façon ! Au cours de leurs ébats, il avait saisit son petit cul, sa bouche, maintenant c’était son visage qui lui servait de paillasson. Une déchéance que pas mal de réalisateurs de film X dans lesquels elle avait joué, n’aurait pas renié. Nouvel exigence du mâle : lui dévorer ses couilles. Elle se mit aussitôt à la tâche. A les suçoter toutes deux une à une, en jouant avec sa langue pour les séparer. Le portrait parfait d’une petite lubrique assoiffée, en train de rendre hommage à la virilité d’un mâle qui lui était supérieur. A bouillonner intérieurement en vraie catin qui convoitait une seule chose : son foutre chaud. Elle eut droit à nouveau à une pénétration très intrusive dans sa bouche. La chose était définitivement trop volumineuse pour qu’elle maîtrise la succion selon son envie à elle. Réduite à subir les assauts de cette queue quand elle s’insinuait ici. Sa petite langue ne pouvait que l’accompagner du mieux qu’elle pouvait dans les vas et viens qu’il accomplissait dans sa bouche. Il allait finir non seulement par l’étouffer, mais aussi par lui coller des crampes douloureuses dans sa mâchoire à force de la butiner ainsi. Mais au-delà de l’inconfort de ces fellations forcés à répétition, Donna était toute fière comme une gamine d’avoir la primeur pour engloutir cette queue là qui se distinguait par son volume. Vénérer sa bite qu’il avait dit, elle n’en était pas loin. A l’avenir, lors de ses caresses nocturnes, c’est bien au sexe de l’actionnaire qu’elle penserait en se touchant.

Visiblement il voulait juter. Sa dernière remarque insultante allait dans ce sens. Il voulait souiller son visage, comme pour signer son œuvre et marquer son territoire pour de bon : ce petit cul m’appartient. Il avait prit sans demander avec violence. Et il l’avait soumise à son bon vouloir et à ses caprices avec une autorité naturelle.

« Je veux votre queue Monsieur, une fois qu’on y a goûté, on ne peut s’en passer. »

Elle entreprit de le faire gicler. Déjà toute excitée à l’idée de laper ce foutre tant convoité. Cette souillure qui allait la faire passer du statut de chienne à truie. Elle abattit sa langue sur le gland du maître pour le mettre au supplice. Elle harcela le gland avec une gourmandise non dissimulée. Jusqu’à ce que le foutre gicle dans sa figure de vilaine opportuniste. La chose coula avec une certaine abondance. Ça perlait sur son front, lui coulant sur ses joues et affluait sur son menton, telle une petite fille salle qui ne savait pas manger proprement. Loin de s’arrêter de sucer une fois l’offrande reçue, elle continua à caresser vivement de sa bouche et lécher la queue, comme si elle pensait en recevoir encore, ou ne voulait pas en laisser une seule goutte. L’avidité dont elle faisait preuve n’arrangea pas sa dignité qui était devenu complètement quelconque et minable, après tout ces ébats forcés avec ce maître.

Cette salope n'en était clairement pas à son coup d'essai face à une bite. Les femmes ont souvent peur et paniquent en voyant le morceau qui se trouve face à elle lorsque je me déshabille. Mais pas elle. Après y avoir goûté avec sa bouche et sa chatte durant plusieurs dizaines de minutes, le moment de me lâcher à mon tour est arrivé. Je la laisse me branler avec ses petites mains délicates pendant que sa bouche s'occupe de mon gland sans lui laisser un moment de répit. Le manque de sexe commence à se faire ressentir et elle va, elle aussi, en subir les frais. Lorsque l'orgasme finit par arriver, mes poings se serrent et je lâche un grognement sauvage pendant que je filme ma crème blanche souiller le visage d'ange qui se trouve devant moi.

Plusieurs semaines sans sexe ont rendu mon sperme gélatineux et collant qui s'accroche à la peau délicate de son visage pour en recouvrir une bonne partie. Son front, ses joues, son nez, ses lèvres, son menton... Tout y passe. Quel incroyable soulagement après l'avoir labouré aussi longuement et brutalement dans ce minuscule bureau de fortune. Mon souffle est encore plus court que précédemment pendant que je l'observe continuer son oeuvre en récupérant tout ce qui peut être coincé dans mon urètre. Le tout sera capturé sur mon portable.

Au bout de plusieurs secondes je décide de me relever pour me retrouver au-dessus d'elle. L'objectif encore et toujours dirigé dans sa direction quand je lui lâche : « Qu'est-ce qu'on dit à son mâtre quand il te donne sa précieuse sauce blanche ? »
C'est vrai, son rôle est de me remercier pour lui souiller la gueule désormais. Cela deviendra une routine quasi journalière quand je ne déciderai pas de lui faire avaler le tout. Je lui ordonne ensuite de déclarer haut et fort qu'elle est désormais soumise à ma queue qui est collée à son visage au-dessus de son oeil gauche. Cachant une partie de son visage au passage tellement elle est imposante, même flasque.

Puis je surenchéris : « Termine de nettoyer ma queue comme une bonne salope. Ce sera ton travail désormais, même si je me tape une autre femme. ». Debout face à elle, la dominant de toute ma taille, j'enregistre encore quelques secondes pour éteindre mon portable et le déposer sur le bureau. Je la laisse finir de me lécher et sucer dans les moindres recoins en lui procurant quelques consignes et insultes.
Une fois terminé, je m'écarte froidement d'elle pour aller chercher mes habits et me rhabiller. Mes chaussures, mon pantalon... Je renfile tout en prenant mon temps et termine en réajustant ma cravate le plus nonchalamment du monde. A me voir, on ne pourrait jamais se douter de ce que je viens de faire à cette actrice.

Prêt à partir, je me retourne vers elle en lâchant un soupir de surprise. Je me dirige alors vers mon bureau pour récupérer mon portable et attraper un stylo et un papier pour griffonner quelque chose dessus. Un papier que je donne à la belle qui ne ressemble plus à grand chose dans son état. J'ajoute à ce petit cadeau une remarque : « Sois là-bas à 7h30 demain matin. »
Sur le bout de papier est indiqué l'adresse d'une des villas dans laquelle je réside. Autant dire que je vais continuer de la mettre à contribution demain à la première heure. Il ne me restera qu'à donner des consignes à mon assistante sur la teneur du réveil qu'elle devra me prodiguer. Mais vu qu'elle semble savoir sucer correctement et qu'elle n'a pas peur de mon gros chibre, cela devrait aller.

J'ai hâte de commencer la première phase des jeux humiliants que je lui ferais subir à l'avenir.

Vu l’état de son visage, elle n’avait clairement plus aucune fierté et elle le savait. Une cochonne au visage poisseux et ravagé par la souillure du mâle. On comprendra que dans de telles conditions, elle ne renâcla pas lorsqu’il la traita comme la dernière des putes. Il exigea une reconnaissance verbale, comme si c’était lui qui lui avait accordé un privilège en se faisant sucer ! Et non elle en s’offrant totalement à lui ! Une ingratitude qui continua d’entretenir le masochisme de la demoiselle, pour les humiliations les plus déplorables. Entre deux succions elle lâcha le plus sérieusement du monde :

« Merci de m’avoir abreuvé et instruite Maître. »

Il exigea encore plus, qu’elle déclare haut et fort être soumise à sa queue. Elle se plia à nouveau à la directive capricieuse, avec une sincérité désarmante dans sa voix.

« Maître, je dois vous l’avouer, je suis dépendante de votre membre. J’aurais besoin à l’avenir de l’avoir régulièrement en bouche pour ne pas devenir folle. »

Donna se mit après à nettoyer avec vigueur le sexe encore volumineux malgré la jouissance passé du mâle. Il sous-entendait qu’elle devrait aussi faire son office lorsqu’il besognerait d’autres femelles. Ce qui laissait supposer de violentes tribades à 3. Un sourire béat et stupide éclaira les lèvres de Donna. Elle se prenait déjà à fantasmer sur de folles partouzes tripartites, dans lesquels elle partagerait sa soumission avec une petite sœur de servitude comme elle. A devoir entretenir les caprices et les désirs interdits de leur mâle. Après tout les Playmates représentaient un vaste vivier. Et vu qu’il en était l’un des actionnaires principaux, son maître n’avait qu’à se servir comme il l’avait fait avec elle, pour s’approprier quelques filles de plus pour son harem (ou plutôt son chenil).

Elle l’observa se rhabiller et réajuster sa mise impeccable. Elle resta affalée au sol comme une traînée, à le regarder en animale de compagnie docile. Même pas un geste d’affection du Maître comme lui tapoter sa joue ou lui caresser ses cheveux. La place qu’il lui réservait était clair : son vide-couille. Visez donc la demoiselle avec un air boudeur, déçu de ne pas être traitée comme sa favorite ou un truc du genre. Il lui donna juste de façon désinvolte un papier avec son adresse. Où elle devait s’y rendre pour soulager ses bourses dès le matin au réveil. Elle l’observa en levant son regard vers lui et papillonna des prunelles. Tout en se léchant lentement les lèvres. Dans le style nous-sommes-sur-la-même-longueur-d’onde. Elle se leva pour tenter de réajuster sa mise à son tour, une fois qu’il fut partie. Mais dur de dissimuler le traitement qu’elle avait reçue. Ses joues étaient encore marquées par les claques. Son cou portait encore les restes de succion quand il l’avait mordillé aux débuts de leurs ébats. Et il était ardu de remettre ses couettes après qu’il l’ait autant décoiffée en la tirant par les cheveux à d’innombrables reprises. Sans parler de son visage souillé par le foutre. Elle tenta tant bien que mal d’arranger ça en se recoiffant et en s’essuyant son visage poisseux avec peine, à l’aide d’une boite de mouchoirs. Mais lorsqu’elle quitta le bureau, certains des membres de l’équipe de tournage ne s’y trompèrent pas et devinèrent aussitôt pourquoi elle s’était isolée avec l’actionnaire.